Par KOSSI BALAO - 2020-04-04 16:26:27
Inès Leonarduzzi, PDG de l'ONG Digital for the Planet, lors du sommet Gala HR One à Luxembourg, le 16 novembre 2017.C'est parce que l'humain détruit les
zones d'habitation des animaux sauvages que les virus se répandent, mutent puis
deviennent meurtriers, rappelle Inès Leonarduzzi, PDG de l’ONG Digital For The
Planet. Il faudra en tirer la leçon, une fois que la pandémie de coronavirus
sera endiguée, recommande cette jeune femme qui se bat contre la pollution
digitale. Elle montre que les pandémies ne datent pas d’hier, que les animaux
sauvages n’y sont pour rien et qu’en fait c’est tout notre mode de
fonctionnement qu’il faut mettre à jour. Lire son opinion sur le site du
journal Les
Echos.
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